QUI SUIS-JE ?

Ma vie avec les chevaux.

Je m’appelle Valérie Schweitzer, j’ai 60 ans et je vis dans le Sud de le France entre Nîmes et Montpellier.

Ma famille est composée de mon mari, Philippe, de nos deux enfants, Sara, 21 ans, qui partage ma passion et que tu retrouves souvent sur mes photos et mes vidéos et Louis notre grand de 23 ans.

Mais aussi de nos 2 chiens, 3 chats et surtout nos 7 chevaux, Hetkala, Maroussia, Tonerre, Vulcano, Aslan, Fawzii et Kenzy. D’âges, de caractères et de races très différents, vivants en troupeau dans un Paddock Paradise, leur observation quotidienne, ainsi que tout ce que nous faisons ensemble est toujours une vraie mine d’inspiration pour moi.

Mais voyons comment tout ça a commencé…

J’avais 6 ans lorsque mon père, passionné par les chevaux, a acheté Malatier, son premier cheval, un camargue. Par la suite, prés et écurie se sont peuplés petit à petit de plus en plus de chevaux, la plupart nés à la maison et tous camargues. C’est ainsi que comme Obélix tombé dans la potion magique, je suis « tombée dedans » quand j’étais petite.

Sur cette photo je monte avec mon petit frère, Thierry, je devais avoir 12 ans.

C’est l’âge où suis devenue propriétaire de Shangar, poulain de 3 ans, né à la maison. Et depuis …50 ans ma passion s’est nourrie et enrichie de lectures, de rencontres avec des cavaliers de tous types et, surtout, de travail avec les chevaux. Pendant des années, j’ai été une cavalière autodidacte, montant mes chevaux sans problème.

Mystère avait 17 ans quand il est entré dans ma vie. Ce selle français, qui avait tout fait avant moi, restera le meilleur professeur que j’ai jamais eu. Avec lui les erreurs n’étaient pas permises et bien souvent il a remis en place mes velléités de cavalière d’extérieur inconsciente. Il a fait de moi une meilleure partenaire pour les chevaux. Mais les choses ont pris un grand coup d’accélération quand Cheyenne est venu le retrouver à la maison.

Croisement d’anglo-arabe et de comtois, ce beau bébé de 18 mois avait un gabarit impressionnant. Hors de question au vu de mon gabarit (1.62 m et 50 kilos …) d’y aller en force pour son éducation et son débourrage.

Cheyenne est celui qui a été le déclencheur, car il a été essentiel de “le garder dans mon équipe” et j’ai du, contre l’avis de tous les cavaliers de mon entourage, réfléchir et trouver un terrain d’entente entre lui et moi. Quelques années plus tard, Cheyenne, resté entier, sortait en groupe rênes longues à toutes les allures au milieu des juments… mes petites stratégies avaient fonctionné.

Au vu de mon géant plein de peps, mais bien éduqué, les demandes d’autres cavaliers ont commencé à affluer. J’ai donc aidé les uns et les autres pendant plusieurs années, tout en passant pour une originale, voire une folle auprès des cavaliers qui se posaient bien moins de questions, en réglant les soucis à coup de mors de plus en plus durs ou à coups de cravache…

A cette même période, j’ai mis à profit mon temps libre pour faire des études de psychologie, assumant ainsi ma curiosité pour tout ce qui régit les rapports humains. Déjà à l’époque je nourrissais une grande passion pour le langage non verbal, ce fameux “langage corporel” qui m’est si utile aujourd’hui avec les chevaux.

La découverte des forums équestres, où j’ai pu prendre conscience de ce qu’était la vie avec les chevaux pour la majorité des cavaliers … Cela n’a pas cessé de me surprendre depuis !

Tellement de choses considérées comme normales que je n’ai jamais connues, tellement de problèmes et de galères, que certains en oublieraient presque qu’avoir des chevaux et les monter devrait être un plaisir…

J’ai commencé à donner ma vision des choses sur plusieurs forums et à aider autant que je le pouvais les personnes qui voulaient bien m’accorder leur confiance.

Cette étape m’a beaucoup aidée à poser par écrit ce que je faisais à la fois par instinct et par réflexion totalement personnelle, m’étant tenue éloignée des circuits habituels d’apprentissage de l’équitation. Mon isolement m’avait appris à observer, à réfléchir, à tenter et valider ou invalider les idées qui me venaient, plutôt qu’à attendre une solution donnée par plus compétent que moi et je ne l’ai jamais regretté.

Durant cette même période, la rencontre avec les premiers articles de presse sur les “chuchoteurs” a été un second électrochoc car il y était question de principes que j’utilisais depuis longtemps déjà. Il a donc été naturel pour moi, d’aller un peu plus loin vers ce type d’éducation du cheval. J’ai donc commencé à grappiller des “outils” dans diverses méthodes et, plus particulièrement, dans celle que j’ai préférée, la méthode Parelli, dans laquelle j’ai pu progresser et que j’applique la majorité du temps..

A partir de là, la femme de cheval sans problème que j’étais, est passée de l’autre coté du miroir.

Ma façon de voir les choses est devenue plus claire, tout a semblé facile… Grâce aux nouveaux “outils” et à l’expérience que j’ai pu emmagasiner au cours de ces années, j’ai atteint des buts que je n’aurai même pas imaginés.

En 2007, j’ai fait de ma passion ma profession en me déplaçant en France et en Europe pour aider des couples cavalier/cheval à mieux se connaitre et à mieux fonctionner. Une excellente occasion de voir des tas de personnalités différentes, du coté des chevaux comme de celui des humains, et de trouver, chaque fois, le lien à construire entre eux.
Un métier passionnant que j’ai du arrêter pour raisons familiales, être sur les routes en permanence était trop difficile pour mes enfants encore trop petits.

TREC

ENDURANCE

BETAIL

MOUNTAIN TRAIL

Pendant 11 ans, j’ai soutenu mon mari, Philippe Veaux, qui a créé la Sellerie Éthologique.
Au fil des années, j’ai aidé par téléphone les clients de la Sellerie qui avaient besoin de conseils. Cela m’a amenée à prendre conscience du nombre de personnes isolées et en difficulté qui voudraient changer les choses et ne savent vers qui se tourner. Avoir recours à un professionnel sur place est parfois compliqué, techniquement et financièrement.

J’ai donc réfléchi à une façon de les aider et j’ai eu l’idée d’apporter mon aide à distance, à toutes ces personnes qui veulent une meilleure relation et communication avec leur cheval mais qui sont seules dans leur coin.

C’est de cette idée qu’est né “Juste avec mon cheval” en 2015.

Le coaching, vidéo, les formations en ligne, la formation à partir de groupes Facebook privés (VIP) , les stages sont devenus mon quotidien.

Grâce à ces moyens que j’ai mis au point, je me régale jour après jour à accompagner des cavalières et des cavaliers dans la relation dont ils rêvaient avec leurs chevaux et tout ça en ligne.
De nombreuses professionnelles du monde du cheval suivent également mes formations et peuvent ainsi amener directement à leurs élèves cette idée d’une communication simple, saine et posée avec les chevaux.

C’est mon envie de partager cette expérience qui m’a motivée à créer ce site pour que tous ceux qui, comme toi, le désirent, puissent être soutenus et accompagnés facilement et efficacement vers le bien-être avec leurs chevaux.

Tu veux en savoir encore plus ?

Je te propose de visionner cette interview faite par Elisa Burr :

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