Pourquoi est-ce que tu fais ce que tu fais ?

Pourquoi est-ce que tu fais ce que tu fais ?

Arriver dans la carrière ou l’aire de jeu et commencer sa séance en mode automatique, qu’on soit à pied ou à cheval… c’est la norme …

Si je suis près de toi et que je te pose ces simples questions :

Pourquoi est-ce que tu fais cet exercice là ?
Pourquoi celui-ci et pas un autre ?

La plupart du temps la réponse est “Parce que je fais toujours comme ça dans mes séances” ou “Parce qu’on m’a dit de faire ça”……. ou ………. un vide intersidéral …….

Parce que, oui, la plupart du temps les cavaliers n’ont aucune idée de la raison pour laquelle ils font ceci ou cela.

C’est ce qui fait la différence entre stagnation et progrès : Ne pas perdre de temps à faire des choses inutiles par réflexe.

Faire des choses en ayant un but !

Savoir COMMENT on fait les choses est totalement inutile, si on ne sait pas POURQUOI on les fait !

Chaque exercice a plusieurs utilités. Si on les connait, si on sait à quoi servent chacun des 7 jeux et ce qu’on peut développer grâce à eux, alors on les utilisera à bon escient pour construire notre progression.

Par exemple :

POURQUOI tu l’envoies tu faire des cercles là maintenant ?

Parce que d’habitude on demande des cercles au sol ? BUUUUPPP mauvaise raison ! ^^

Parce que tu veux améliorer son autonomie ? Pour l’échauffer et le connecter avant votre séance montée ? Pour préparer les cercles en liberté ? Pour qu’il se relaxe ? Pour qu’il apprenne à ralentir ou à accélérer son allure et à la tenir ainsi ? Pour qu’il trouve tellement confortable finalement de rester arrêté tranquille près de toi… ? OUI ça ce sont de bonnes raisons !
Mais chacune va demander de pratiquer ce même jeu du cercle d’une façon différente.

Et c’est la même chose pour tous les jeux au sol, en longe en liberté ou monté !

Comme dit Ray Hunt : “Comment le cheval va-t-il apprendre, si vous ne savez pas pourquoi vous faites ce que vous faites ? “

Si tu sais POURQUOI tu fais les choses tu les feras forcément mieux !

NE FAIS RIEN sans savoir POURQUOI tu le fais.

Ainsi tu ne perdras pas ton temps à faire des choses répétitives sans réel but et tu ne blaseras pas ton cheval….
Mets à la poubelle les exercices que tu fais “parce que tu fais comme ça d’habitude” et pose toi les bonnes questions :
De quoi mon cheval a-t-il besoin ?
Quel exercice pourrait l’aider maintenant là tout de suite ?

Si déjà tu as ça alors ton cheval pourra enfin apprendre vite et bien puisqu’il y aura une logique dans tout ce que tu vas faire !

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Sens ton cheval …

Sens ton cheval …

“Sentez votre cheval.
Comment fait-il ce virage? Est-il rigide? Est-il serré? Est-il doux? Est-il paresseux?
Il se passe beaucoup de choses si vous l’écoutez.
Nous ne remarquons pas assez les bonnes choses qu’il fait et pendant qu’il fait ces bonnes choses, nous les considérons comme allant de soi.
Nous faisons beaucoup trop physiquement. “- Ray Hunt.
 
Oui nous devrions sentir et ressentir nos chevaux au lieu de ne penser qu’au résultat en mode réussi ou raté !
 
Te rendre compte des efforts que fait ton cheval, avoir conscience du plus petit de ses progrès est une vraie garantie de développer son goût de l’effort, sa bonne volonté et son envie de continuer le chemin avec toi ! Faire les choses bien n’est pas “normal”, faire les choses bien ne doit pas passer inaperçu. Abandonne le “si je dis rien c’est que c’est bien” et félicite le pour les choses bien, félicite-toi pour les choses bien, vous le méritez tous les deux non ? 
Plus tu auras un ressenti fin, mieux tu prendras conscience du moment où il faut agir plus fermement, du moment où il faut relâcher ou de celui où juste maintenanir suffira. Le dosage dépend uniquement de ce que tu sens. Sans ressenti pas de dosage, sans dosage, pas de finesse.

Personne ne peut ressentir à ta place !

Au sol comme en selle, si tu prends la peine de ressentir et d’observer avec suffisamment de concentration, c’est un dialogue que tu mets en place avec ton cheval, un dialogue intime et privé, celui qui existe entre deux individus qui se connaissent bien et s’apprécient. 

Je te présente mon caméraman préféré ! ^^

Je te présente mon caméraman préféré ! ^^

Non pas de beau gosse musclé en vue, mais voici le trépied que je te conseille pour te filmer. 😀

Trépied en lien sur Amazon

J’en ai un depuis octobre 2016 et je l’utilise quasi tous les jours. Il tient facilement dans la main ou dans une sacoche. Tu peux l’utiliser au sol ou sur un bidon ou une chaise. Je l’ai déjà posé dans le sable, oublié sous la pluie, mes chevaux ont joué avec. Il a vécu beaucoup d’aventures et il est toujours bien vivant !
Je l’utilise pour porter mon appareil photo réflex ou ou mon iphone avec ce petit accessoire :
 
Qui lui aussi va toujours très bien près de 3 ans plus tard. Ça vaut le coup d’être souligné !
Pourquoi un trépied au lieu d’un caméraman humain ?
Parce qu’un trépied n’en a jamais marre de t’attendre, qu’il n’a pas froid, qu’il n’a pas chaud, qu’il n’a pas arrêté de filmer au moment où il se passait quelque chose d’intéressant et que tu n’es pas sous pression quand il est là !
 

Voilà un paquet de bonnes raisons pour recourir à ces petits accessoires pas trop ruineux et qui t’accompagneront longtemps. 😀

Si tu préféres le système D, c’est possible aussi, il y aura toujours un bidouillage à faire comme celui-ci :

Mais sans garantie que le téléphone gardera le cadrage ou ne tombera pas en cours de route… testé de nombreuses fois avant que je me décide à investir dans mon caméraman préféré 😉

Oui mais comment faire pour rester dans le cadre ?

 

 

Parce que oui quand tu es avec ton cheval, tu te déplaces et tu as peur qu’il y ait juste un bout de carrière ou d’herbe sur ta vidéo.

Pour ça rien de plus simple ! Il te suffit de mettre en place deux repères au début de ta séance un de chaque coté, à la limite du cadrage de ton téléphone ou de ta caméra (ici par exemple j’aurai pris comme repères le dernier bidon bleu à droite et le bidon blanc à gauche si je suis entre les deux c’est bon). Ainsi si tu restes dans le triangle créé par tes deux repères et ton téléphone ou ta caméra, tu es sure d’être dans le champ ! Et si tu n’y es pas tout le temps, ce n’est pas si grave, il y aura toujours des moments à visionner pour que tu puisses vous voir de l’extérieur.

Plein d’autres conseils pour te filmer dans cette vidéo !

Alors voilà maintenant plus d’excuse, filme toi, regarde toi et si tu as besoin d’aide, envoie moi la vidéo pour un coaching privé, pour savoir comment ça marche, clique ici ! 😉

A toi de voir jusqu’où tu veux aller…

A toi de voir jusqu’où tu veux aller…

On peut passer sa vie à tourner en rond dans la carrière ou sur les mêmes chemins de balade sans progresser vraiment … Se contenter de ce qu’on a en pensant que c’est comme ça, on ne sait pas faire ceci ou cela … pourtant ça nous ferait bien envie, mais pfff c’est du boulot hein ! ^^

OU

On peut faire un pas sur le chemin du progrès chaque jour, se former, se décider à progresser et y arriver.

Jusqu’où est-ce que tu iras ? Je ne sais pas et toi non plus, tant que tu ne te seras pas décidée à bouger !

Alors vas y ! Attaque, commence, fais, trompe-toi, recommence, trompte-toi encore, change de point de vue, recommence encore et avance !

Personne ne peut dire jusqu’où tu iras jusqu’à ce que tu y sois parvenue !

Regarde, moi, j’étais une cavalière d’extérieur, je n’avais même jamais osé pensé qu’un jour je ferai du déplacement latéral ou de la liberté avec mes chevaux, mais j’ai voulu renforcer mes bases, consolider la relation avec eux et aujourd’hui je peux obtenir du déplacement latéral en liberté à plus de 10 m de moi. Parce que j’ai construit tranquilement, je n’ai pas spécialement voulu arriver là, mais c’est sur ma route.

C’est ce qui se passe quand on se préoccupe plus du chemin que du but on peut arriver à des destinations aussi imprévues que magnifiques !

Alors à toi de voir si tu veux bouger … mais si tu restes où tu es, tu ne sauras jamais jusqu’où tu aurais pu aller !

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Alors tu aimeras aussi mes livres “Juste avec mon cheval” pour réfléchir et devenir l’humaine que les chevaux ont envie de cotoyer !

S’adresser au cerveau du cheval…

S’adresser au cerveau du cheval…

Beaucoup de cavaliers attendent en fait une seule chose de leur cheval … qu’il fasse ce qu’ils lui demandent ! Et c’est entendable. On monte à cheval pour aller se balader, pour sauter des barres, faire des reprises de dressage ou des numéros de cirque et le but est que le cheval fasse ce qu’on lui demande. Cela est flatteur pour le cavalier, il peut progresser dans sa discipline, finalement c’est le but …

OUI mais … avoir un cheval téléguidé qui répond parfaitement aux ordres c’est bien. Mais un cheval qui comprend ce qu’on est en train de faire, qui participe et qui fait réellement de son mieux pour atteindre un but commun… c’est un autre stade !

Ce stade, tellement plus agréable ne peut être atteint que si on comprend une fois pour toutes que c’est au cerveau de notre cheval qu’il faut s’adresser. Bien sur on ne peut pas lui parler et il va bien falloir parler à son corps pour s’adresser à son cerveau, mais le cerveau est bien la finalité.

Par exemple, on peut faire faire des cercles à un cheval de façon classique : longe tendue et chambrière active, pour garder le cheval dans l’allure et sur la bonne trajectoire, on parle au corps du cheval qui doit faire ce qu’on lui dit, il n’a pas tellement le choix et pas besoin de réfléchir.
Mais on peut aussi demander des cercles en autonomie, juste en gardant l’énergie de l’allure dans notre corps, longe détendue et stick posé, le cheval étant responsable de son allure, de sa direction, c’est à lui de garder cette trajectoire précise et cette allure, l’humain n’est là que pour corriger d’éventuelles erreurs

Qu’est ce que ça peut changer ?

TOUT ! Un cheval qui est rendu responsable, qui a besoin de réfléchir pour faire ce qu’on lui demande, parce qu’on corrige ses erreurs si besoin pour l’aider à comprendre, au lieu de le guider en permanence pour éviter qu’il en fasse, va pouvoir montrer à quelle point il comprend, il va prendre plus de plaisir à faire des choses par lui même, il va réellement apprendre et progresser bien plus vite.

On le sait tous plus on apprend, plus il est facile d’apprendre, plus c’est rapide et efficace, le cerveau est un muscle !

Alors, apprenez à votre cheval à réfléchir, renoncez au contrôle absolu du conducteur de cheval, pour devenir un professeur qui enseigne avec un mélange d’indulgence et de fermeté et vous aurez le cheval dont vous rêvez !

 

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Changer les choses

Changer les choses

eBeaucoup de cavalières ont les mêmes problèmes depuis des années avec leur cheval ou avec des chevaux différents et pourtant elles restent persuadés que leur façon de faire est la meilleure ou elles n’en connaissent pas d’autre !

Il peut sembler évident, en théorie, que si on fait la même chose et que cette chose donne le même résultat non satisfaisant depuis des mois ou des années, ce qu’on fait là ne convient pas au cheval ou au cavalier ou peut-être aux deux et qu’il faut changer une donnée dans l’équation … Il est beaucoup moins simple de prendre le recul nécessaire pour en prendre conscience quand on a le cheval au bout de la longe ou sous les fesses …

Il n’est pas facile non plus d’avouer aux autres qu’on a un vrai problème avec son cheval et souvent encore moins facile de se l’avouer à soi-même. C’est souvent un long chemin que cette prise de conscience, et beaucoup ne s’y résolvent pas. Elles continuent en ignorant le problème sans rien changer à ce qu’elles font, à apporter les mêmes solutions au mêmes problèmes : à donner des leçons de jambe aux chevaux qui n’avancent pas, à ne pas sortir seules parce que leur cheval est trop grégaire, à monter accrochées aux rênes parce que leur cheval est difficilement contrôlable, ou à demander de l’aide à plus costaud qu’elles pour le moindre soin, douche ou embarquement….

Et pourtant, des solutions existent !

Ces solutions ne sont pas instantanées. Elles ne se cantonnent pas à des “trucs magiques” ni à des astuces rapides.

Elles demandent de prendre le temps, de voir et bâtir les choses autrement, d’accepter le fait que nous avons au moins autant de problème que le cheval et ce n’est pas une démarche facile. Mais on ne trouvera ces solutions que si on se rend compte qu’on a un problème et que faire la même chose en attendant un résultat différent de celui qu’on a toujours eu est une pure folie !

A partir de ce moment là seulement, on est prête à passer à la suite et à avancer en se faisant aider, parce que se faire aider c’est réussir et non avouer un échec !

Alors garde en tête mes 3 conseils pour changer les choses : 

– Prendre conscience qu’on a un problème
– Se faire aider
– Prendre le temps pour bâtir du solide

Valérie Schweitzer
Juste ave mon cheval

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Se donner du mal pour les petites choses …

Se donner du mal pour les petites choses …

Dans notre cheminement avec les chevaux on a tendance à vouloir tout de suite du spectaculaire, du gratifiant, du brillant et on se retrouve vite en échec !

Alors oui ..

S’appliquer sur la lenteur avec laquelle on ferme la main sur la rêne ou la longe

Prêter attention à fermer les jambes avc lenteur et précision en contractant les muscles depuis la cuisse

Être attentive au fait de mettre plus d’intention que de mouvement

Obtenir un reculer léger sur 3 pas

S’efforcer d’obtenir un départ au pas en main ou en selle qui soit calme, léger, facile et propre,

Prendre le temps d’avoir un saut aisé et sans hésitation sur un obstacle tout petit…

Ce n’est pas flatteur pour le cavalier, ça ne “vend pas du rêve” (Dieu que je déteste cette expression ! ^^), mais toutes ces petites choses non spectaculaires qui permettent d’avancer vers la légèreté, la délicatesse et la fluidité, sont totalement indispensables à des buts plus élevés.

Quel dommage que la plupart du temps, on les massacre tranquillement en passant dessus comme un bulldozer car elles ne sont pas valorisantes pour le cavalier … 

Si tu fais de ces petites choses, tes buts proches, dans quelques semaines tu pourras vraiment voir vos progrès ! De quoi être contente de toi, même si ça ne jette pas de poudre aux yeux.

Toi tu le sauras et ton cheval aussi et tu seras prête pour le prochain petit progrès qui fera de toi une meilleure partenaire pour ton cheval. Et finalement il n’y a que ça qui compte !

 

Que faisait-il quand tu as arrêté de demander ?

Que faisait-il quand tu as arrêté de demander ?

Les chevaux apprennent par essai/erreur :

Tu mets en place un stimulus, je ne parle pas ici d’une contrainte physique mais d’une demande légère : tendre la longe, tendre tes rênes, fermer une jambe, agiter le stick, le toucher avec le stick, etc…

Si ta demande était claire il a beaucoup plus de chance de donner la réponse que tu attendais, mais il peut faire tout de même des tas de choses différentes : ne pas bouger, avancer, tourner, reculer, se cabrer… ce sont des propositions !

A partir de là, la seule chose qui compte pour son apprentissage, c’est le moment où tu vas arrêter de demander ! Ce qu’il faisait au moment où tu as arrêté sera compris comme étant la bonne réponse.

Donc oui, les chevaux qui ne cèdent pas sur la longe pour avancer ou reculer, ceux qui se cabrent ou fuient en avant, ce n’est pas par vice, mais bien parce qu’un humain leur a appris que c’était la réponse appropriée …

Penses-y chaque fois que tu demandes quelque chose à ton cheval, ce qu’il apprend c’est ce qu’il faisait à l’instant où tu as arrêté de demander …

Tu as tendu la longe puis relaché puisqu’il ne venait pas ? Tu viens de lui apprendre que quand la longe se tend, il suffit d’attendre pour que la pression disparaisse … Pas tout à fait ce qui était prévu et pourtant il n’y est pour rien.

Et c’est pareil pour TOUT ce que vous faites ! 

Arrêter de demander au bon moment cela a un nom c’est le TIMING !

Devenir une championne du timing fera de toi une meilleure cavalière et une meilleure femme de cheval.

Avoir du timing cela demande de savoir ce qu’on attend du cheval (pas toujours évident) et aussi beaucoup de concentration et de perception du corps du cheval. En papotant avec d’autres personnes ou en étant perméable à ce qui se passe autour de vous deux, tu ne peux pas avoir un bon timing … 

Alors deviens une championne du timing en étant sure de ce que tu veux, concentrée et attentive !

Retrouve des tas d’autres articles dans mes livres : 

 

www.juste-avec-mon-cheval.com

Retrouve beaucoup d’autres textes dans les livres
JUSTE AVEC MON CHEVAL

Des livres pour faire progresser la relation avec ton cheval.
Des livres pour mieux le comprendre.
Des livres pour mieux TE comprendre.
Des livres faciles à lire.
Des livres à emporter partout !

J’ai ressenti ce livre comme une main tendue. C’est une invitation à la remise en question, plein de sagesse et de bienveillance. C’est un livre qui fait du bien, qui nous permet d’avancer vers et avec notre cheval, et nous permet de devenir l’humain que notre compagnon mérite ❤️

Lisa

Les propos utilisés dans ce livre sont très clairs, beaucoup plus que tous les livres que j’ai déjà eu l’occasion de lire, c’est comme un dialogue avec des notions précises et compréhensibles, des exemples du quotidien où on se dit «Comment j’ai fais pour ne pas m’en être rendu compte avant?»

Clarys

Si j’étais un livre, je voudrais être celui-là. Parce qu’il offre généreusement, pour quelques poignées d’euros, des clés précieuses et accessibles, qui donnent à chacun le pouvoir d’être un meilleur humain, pour son cheval, pour tous les chevaux, et même pour tous les autres humains, à partir d’aujourd’hui et pour toujours.

Giulia

Le doute tue !

Le doute tue !

Rêver c’est super, mais confronter ces rêves à la réalité peut être extrêmement décourageant !

A cette ère numérique, le web regorge de “performances” équestres. Il suffit d’allumer un téléphone ou un ordinateur pour en trouver si on navigue dans le milieu du cheval. Et si certaines de ces performances font rêver, cela rend plus douloureuses encore les difficultés quotidiennes.

Baver devant son écran sur la vidéo de quelqu’un qui monte sans rênes, oui, ça peut être douloureux quand on a déjà du mal soi-même à arrêter son cheval ou à le faire tourner avec des rênes et un mors.
Alors oui on en rêve de tout ça mais qu’est ce qui empêche la plupart des cavalières de passer à l’action et de progresser ?
Une seule et unique chose :

Le doute !

Car si on regarde les choses avec un peu de recul, soyons réalistes si on pouvait garantir à chaque personne qu’elle ne peut pas échouer … tout le monde le ferait !

Quand on dit cela, les réponses arrivent très vite : “Oui mais moi j’ai pas 3 heures par jour pour mon cheval ! “, “Oui mais mon cheval il est trop speed” … et puis “Mon cheval il est trop vieux”, et puis, “J’ai pas de carrière”, et puis “Je ne suis pas assez bonne cavalière”, et puis “J’ai personne pour m’aider”, et puis “Je ne saurai pas comment faire” … et puis on peut trouver comme ça une infinité de bonnes raisons, de bonnes excuses aussi … parec que c’est ce qu’il y a de cool avec les excuses, il y en a des tonnes et on peut toujours s’en trouver de nouvelles…

Mais  toutes n’ont qu’une seul source : ce fameux doute, la tondeuse à rêves celle qui te ramène sur le plancher des vaches vite fait, bien fait et qui a tué bien plus de rêves que la totalité des échecs …

Parce que, vois-tu, l’échec lui est un signe positif et absolument fabuleux … celui que tu es en train d’essayer !!! Et si tu as commencé à essayer, il ne te faudra qu’un peu plus de ténacité, un peu plus de réflexion pour analyser tout ça et rebondir ! Un petit OUPS raté et hop on s’y remet ! Si tu as eu un échec c’est que tu es prête à recommencer, ton avenir n’attend que toi !

Alors pour enfin te mettre en route vers tes rêves, jette à la poubelle toutes les magnifiques raisons que tu évoques quand tu parles aux autres, jette au passage tous les mensonges que tu te fais même à toi et FONCE !

CROIS EN TOI !

 

Oublie tes doutes, si tu le veux et que tu te donnes les moyens, ta réussite ne sera qu’une question de temps …

Le moment pour te prendre en main et mettre le premier pied sur le chemin, c’est maintenant !

Si tu as déjà testé mon accompagnement ou que mes articles te plaisent tu peux laisser un message

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Merci d’avance

Valérie